Bon j'avoue je mets une étoile juste parce que je n'ai pas le coeur de mettre zéro étoile à Wim Wenders...
Non c'est pas vrai, je mets aussi une étoile parce que c'est très joliment fait et que la BO est merveilleusement choisie et qu'elle transportera le spectateur dans un vent de mélancolie et d'introspection.
Je ne mets QUE une étoile en revanche parce que bon sang ce que je me suis fait chier !
Entendre cette femme qui parle et qui parle et qui parle de ses histoires de cul et d'amour et de mysticologie alors qu'aucun de ses mots ne m'évoque quoique ce soit, même de loin... toute la douceur de Reda Kateb n'y pouvait rien : j'en pouvais plus de mourir d'ennui !
Et puis ce qui a achevé de me gonfler les ovaires, c'est de réaliser que j'étais pour la énième fois en train écouter les mots que deux hommes (l'auteur de la pièce, Peter Handke et le réalisateur Wim Wenders) avaient mis dans la bouche de cette femme. Des mots si éloignés de moi que rien ne me parlait, jamais je n'ai été si peu concernée par un film...
Je suis partie juste après avoir écouté le merveilleux Nick Cave chanter.
Les beaux jours d'Aranjuez, Wim Wenders (sortie le 9 nov 2016)
Reda Kateb, Sophie Semin, Jens Harzer -
Synopsis
Un beau jour d’été. Un jardin. Une terrasse. Une femme et un homme sous les arbres, avec un vent d’été doux. Au loin, dans la vaste plaine, la silhouette de Paris. Un dialogue commence, des questions et des réponses entre la femme et l’homme. Il s’agit d’expériences sexuelles, d’enfance, de souvenirs, de l’essence de l’été et de ce qui différencie les hommes et les femmes, la perspective féminine et la perception masculine. Derrière, dans la maison qui donne sur la terrasse, sur la femme et l’homme: l’écrivain, en train d’imaginer ce dialogue et de le taper à la machine. Ou est-ce l’inverse? Seraient-ce les deux personnages, là dehors, qui lui racontent ce qu’il couche sur le papier: un ultime et long dialogue entre un homme et une femme ?
Non c'est pas vrai, je mets aussi une étoile parce que c'est très joliment fait et que la BO est merveilleusement choisie et qu'elle transportera le spectateur dans un vent de mélancolie et d'introspection.
Je ne mets QUE une étoile en revanche parce que bon sang ce que je me suis fait chier !
Entendre cette femme qui parle et qui parle et qui parle de ses histoires de cul et d'amour et de mysticologie alors qu'aucun de ses mots ne m'évoque quoique ce soit, même de loin... toute la douceur de Reda Kateb n'y pouvait rien : j'en pouvais plus de mourir d'ennui !
Et puis ce qui a achevé de me gonfler les ovaires, c'est de réaliser que j'étais pour la énième fois en train écouter les mots que deux hommes (l'auteur de la pièce, Peter Handke et le réalisateur Wim Wenders) avaient mis dans la bouche de cette femme. Des mots si éloignés de moi que rien ne me parlait, jamais je n'ai été si peu concernée par un film...
Je suis partie juste après avoir écouté le merveilleux Nick Cave chanter.
★☆☆☆☆
Les beaux jours d'Aranjuez, Wim Wenders (sortie le 9 nov 2016)
Reda Kateb, Sophie Semin, Jens Harzer -
Synopsis
Un beau jour d’été. Un jardin. Une terrasse. Une femme et un homme sous les arbres, avec un vent d’été doux. Au loin, dans la vaste plaine, la silhouette de Paris. Un dialogue commence, des questions et des réponses entre la femme et l’homme. Il s’agit d’expériences sexuelles, d’enfance, de souvenirs, de l’essence de l’été et de ce qui différencie les hommes et les femmes, la perspective féminine et la perception masculine. Derrière, dans la maison qui donne sur la terrasse, sur la femme et l’homme: l’écrivain, en train d’imaginer ce dialogue et de le taper à la machine. Ou est-ce l’inverse? Seraient-ce les deux personnages, là dehors, qui lui racontent ce qu’il couche sur le papier: un ultime et long dialogue entre un homme et une femme ?
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