Joe, David Gordon Green (2013)

Selon les critiques, Joe devait marquer le grand retour de Nicolas Cage, sauvé par Gordon-Green de la culture de navets à laquelle il semblait s'être consacré depuis quelques années.

Par contre en ce qui me concerne, Joe m'a surtout fait dormir... Mais bon j'étais malade, et j'ai l'impression qu'il faisait toujours nuit dans ce film.

Mon avis n'est pas forcément très percutant du coup, mais il me souffle que s'il ne s'agit certes pas d'un chef d’œuvre, le film a malgré tout de nombreuses qualités (notamment la performance de Cage, toujours aussi impliqué!) et aborde de façon plutôt inspirée la colère, le doute, la rédemption et la lutte des précaires.

Néanmoins, je mets mon sommeil (de fort bonne qualité par ailleurs, merci) sur le compte d'un gros manque de rythme et de personnages frôlant la caricature, tout autant que sur le virus qui m'a tenu compagnie ces 10 derniers jours...

♥♥
Le 2e est pour Nicolas Cage qui semble signer ici sa rédemption capillaire 

Joe, David Gordon Green (sortie le 30 avril 2014)
Avec Nicolas Cage, Tye Sheridan, Ronnie Gene Blevins - USA - 1h57

Synopsis
Dans une petite ville du Texas, l’ex-taulard Joe Ransom essaie d’oublier son passé en ayant la vie de monsieur tout-le-monde : le jour, il travaille pour une société d’abattage de bois. La nuit, il boit. Mais le jour où Gary, un gamin de 15 ans arrive en ville, cherchant désespérément un travail pour faire vivre sa famille, Joe voit là l’occasion d’expier ses péchés et de devenir, pour une fois dans sa vie, important pour quelqu’un. Cherchant la rédemption, il va prendre Gary sous son aile…

Une cinéphile

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