Diana, Oliver Hirschbiegel (2013)


Bon j'ai un peu honte mais après-tout... je ne recule devant aucune abnégation et, intriguée par le casting (j'aime bien Naomi Watts), je me suis fendue d'un ticket pour Diana.

Eh bien ma foi, vous pouvez vous en dispenser allègrement parce que vraiment. VRAIMENT. C'est nul.

Rien à sauver si ce n'est éventuellement la prestation de Watts, complètement massacrée ceci dit par l'une des VF les plus abominables que j'ai pu voir.

Le film se concentre non pas sur la vie de Diana mais sur ses amours, puisque apparemment il est calibré pour la mère Michu qui après avoir passé une décennie à rêver devant Gala va pouvoir revivre ça devant le film.

On s'attarde donc en long en large et en travers pendant 1h45 sur la dernière histoire d'amour impossible de Di : un cardiologue Pakistanais dont on n'a a) jamais entendu parler et b) absolument rien à cirer.

Bref finalement un film aussi abject que les deux ans de gros n'importe quoi médiatique qui ont précédé sa mort. Sérieusement, n'y allez pas.
 

Diana, Oliver Hirschbiegel (sortie le 2 octobre 2013)
Avec Naomi Watts, Naveen Andrews, Douglas Hodge - GB / Allemagne - 1h53

Synopsis
Récit des deux dernières années de la vie de Lady Diana, ex-femme du Prince Charles, décédée le 31 août 1997 à Paris.

Une cinéphile

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