Antiviral est une vraie réussite visuelle, bourrée de bonnes idées et de références paternelles, auxquelles cronenberg-fils peine malheureusement à donner vie. Ambitieux mais aussi terriblement prétentieux. Bref : éprouvant de chiantitude.
L'évolution dans cette micro-critique reflète
exactement la progression de mon sentiment devant le film : très
emballée au début et puis petit à petit le soufflé retombe pour ne
laisser que l'ennui d'un truc fade et raplapla.
★☆☆☆☆
Antiviral, Brandon Cronenberg (sortie le 13 février 2013)
Avec Caleb Landry Jones, Sarah Gadon, Malcolm McDowell, Douglas Smith - Canada - 1h44
Synopsis
L’avenir proche. Syd March est employé d’une clinique qui vend des
injections de virus contractés par des célébrités à leurs fans. Une
expéricence de communion biologique, à prix d’or. En parallèle, il
fournit au marché noir des échantillons de virus qu’il s’injecte afin de
passer les sécurités de la clinique. Jusqu’au jour où il s’infecte d’un
virus mortel contracté par la sensation Hannah Geist, et devient la
cible des collectionneurs les plus enragés. Il n’a alors plus qu’un
objectif : percer le secret de cette maladie afin d’en trouver
l’antiviral.
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