La Piel que habito, Pedro Almodovar (2011)


Un Almodovar étrangement a-sentimental, qui pourtant respecte ses thèmes favoris (la famille, le genre...) et son univers "déviant". On se perd toutefois un peu devant tant d'étrangeté dont on peine à saisir le point de vue.

★★★☆☆

La Piel que habito, Pedro Almodovar (sortie le 17 aout 2011)
Avec Antonio Banderas,  Elena Anaya, Marisa Paredes - Espagne - 1h57

Synopsis
Depuis que sa femme a été victime de brûlures dans un accident de voiture, le docteur Robert Ledgard, éminent chirurgien esthétique, se consacre à la création d’une nouvelle peau, grâce à laquelle il aurait pu sauver son épouse. Douze ans après le drame, il réussit dans son laboratoire privé à cultiver cette peau : sensible aux caresses, elle constitue néanmoins une véritable cuirasse contre toute agression, tant externe qu’interne, dont est victime l’organe le plus étendu de notre corps. Pour y parvenir, le chirurgien a recours aux possibilités qu’offre la thérapie cellulaire.
Outre les années de recherche et d’expérimentation, il faut aussi à Robert une femme cobaye, un complice et une absence totale de scrupules. Les scrupules ne l’ont jamais étouffé, il en est tout simplement dénué. Marilia, la femme qui s’est occupée de Robert depuis le jour où il est né, est la plus fidèle des complices. Quant à la femme cobaye…

Une cinéphile

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