Bruegel, c'est un film au concept fascinant : à partir d'une œuvre d'art, décortiquer chaque scène pour en reconstituer l'histoire. Quand, comme ici, les images sont magnifiques, on peut s'attendre à un petit chef-d’œuvre.
Il n'en est malheureusement rien, tant c'est tourné avec
retenue. Majewski ne parvient pas à donner vie à sa toile et ne propose
finalement qu'une succession de plans statiques et sans intérêt.
Ça
ressemble plutôt à une caricature de film "intello" : c'est chiant !
★☆☆☆☆
Bruegel, le moulin et la croix, Lech Majewski (sortie le 28 décembre 2011)
Avec Rutger Hauer, Charlotte Rampling, Michael York - Pologne - 1h32
Synopsis
Année 1564, alors que les Flandres subissent l’occupation brutale des
Espagnols, Pieter Bruegel l’Ancien, achève son chef d’œuvre "Le
Portement de la croix", où derrière la Passion du Christ, on peut lire
la chronique tourmentée d’un pays en plein chaos.
Le film plonge littéralement le spectateur dans le tableau et suit le parcours d’une douzaine de personnages au temps des guerres de religions. Leurs histoires s’entrelacent dans de vastes paysages peuplés de villageois et de cavaliers rouges. Parmi eux Bruegel lui-même, son ami le collectionneur Nicholas Jonghelinck et la Vierge Marie.
Le film plonge littéralement le spectateur dans le tableau et suit le parcours d’une douzaine de personnages au temps des guerres de religions. Leurs histoires s’entrelacent dans de vastes paysages peuplés de villageois et de cavaliers rouges. Parmi eux Bruegel lui-même, son ami le collectionneur Nicholas Jonghelinck et la Vierge Marie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire